L'interviewé se souvient ici de la convivialité qui régnait entre les ouvriers verriers, que ce soit dans les temps de travail ou à la sortie. Il raconte entre autre les retrouvailles "pour décompresser" au café La Grenouille, et revient sur cet ouvrier "manuel", payé par l'entreprise, qui circulait dans la verrerie avec sa charette, et prenait les commandes (parfois à manger, plus souvent à boire) des ouvriers. "Ca buvait à Vierzon, ça buvait dur. J'avais jamais vu ça au Portugal !" |