Il est question dans ce chapitre de l’hygiène quotidienne et du rapport à l’eau. Bien que ce rapport soit dans un premier temps tragique en raison de la noyade de son très jeune frère, Jean-Pierre Dubour semble tisser un lien particulier avec l’eau, que ce soit celle du Cher ou de l’Yèvre, rappelant l’omniprésence de cette dernière dans la vie vierzonnaise. Lieu de pêche, d’entretien physique, d’hygiène et de camaraderie après l’usine, l’Yèvre occupe une place prépondérante dans sa vie. |